APIA Est – 10 janvier 2025

Nous abordons aujourd’hui un sujet qu’il nous paraît essentiel de faire figurer dans les thèmes des conseils d’administration, et qui semble néanmoins largement occulté, ou traité partiellement en PME/PMI : il s’agit de l’intérêt qu’un conseil d’administration ou tout autre organe de gouvernance se doit de porter à la data, à la donnée présente, générée et exploitée par les entreprises. Il est à noter est un préalable nécessaire à toute intelligence artificielle.

Traitement actuel de la data par le conseil d’administration

Elle est majoritairement traitée aujourd’hui sous trois aspects :

  • Accessibilité de certaines données nécessaires au bon fonctionnement du CA. Ici, le CA joue souvent indirectement un rôle bénéfique, en s’inquiétant d’indicateurs jusqu’à présent non disponibles, ce qui suscite des travaux en interne pour les produire. Avec un peu de chance, les données demandées, après une phase de construction spécifique pour satisfaire la demande, sont intégrées dans le corpus de données utilisées au quotidien par le dirigeant pour son fonctionnement opérationnel. Elles y gagnent souvent en pertinence, fiabilité et permettent de mesurer des évolutions.
  • Propriété et confidentialité des données : c’est un domaine largement réglementé en Europe. Il concerne en particulier l’usage de données individuelles réputées personnelles, du droit d’accès des propriétaires, etc. A minima, le CA s’inquiétera du respect de ces obligations (RGPD etc). ou incitera à la mise en place des outils de mesure et de contrôle.
  • Sécurité des données : il s’agit ici de se prémunir contre les cyberattaques, sujet très médiatique, et dont les effets sont reconnus par la majorité des PME comme dévastateurs (financièrement par les demandes de rançon, économiquement par la perte de données ou l’arrêt de l’exploitation, plus que par la divulgation de données réputées sensibles). Les efforts portent en particulier sur la sécurisation du poste de travail, et les mesures de sensibilisation et de formation des salariés. Ainsi, le CA se préoccupe plus de la construction d’un « mur d’enceinte » que de la sécurité du coeur du système d’information contenant la data d’entreprise.

Ces aspects, pour autant qu’ils soient aujourd’hui traités, le sont toutefois souvent de manière partielle, voire insuffisante ou erronée. Le dirigeant est souvent mal à l’aise avec la délocalisation « cloud » de ses données et la gestion de ses systèmes d’information. Il fait partie du rôle du CA de l’inciter à réfléchir aux sujets suivants :

  • Il y a « cloud et cloud », un data center digne de ce nom (Tier 4) coûte environ 20k€ au m2 à la construction, hors équipement, et offrira infiniment plus de sécurité que la salle blanche de l’entreprise ou qu’un data centrer à planchers de bois plus propice aux incendies incontrôlables ; dupliquer des données par exemple dans le cadre d’un PRA (plan de reprise d’activité) n’a de sens que si elles sont dupliquées dans des data centers géographiquement distincts, et on devra s’assurer que les données dupliquées sont saines. Faites visiter un data center à vos dirigeants !
  • Toutes ces précautions ne retirent rien à la conclusion, certes contre-intuitive, mais néanmoins avérée : pour 98% des PME (hors secteurs hyper sensibles), un hébergement « cloud » en data centrer de logiciels « multi-instances » (partagés par plusieurs clients, sans développement spécifique « maison ») est infiniment plus sécurisé et moins énergivore que des systèmes « maison ». Cette remise en cause des certitudes doit s’accompagner chez le dirigeant par la prise en compte de modifications profondes des modèles économiques (souscription d’un droit d’usage plutôt que l’achat d’un logiciel), et aussi des coûts liés; pas nécessairement appréhendés quand on utilise depuis des années un logiciel qui n’est plus maintenu.
  • En termes d’obsolescence : les risques liés à la « dette technique » de certains systèmes gérant des données globalement stables (comme les données comptables) sont souvent largement ignorés du dirigeant. Et pourtant, un système globalement « en retard » d’un point de vue technique offre des risques de « plantage » largement supérieurs (langages obsolètes, pannes difficiles à identifier, trous de sécurité, compétences disparues…), il est nettement plus sensible aux attaques de piratage (protections insuffisantes, et donc cible privilégiée des hackers) et il est nettement moins communiquant, ce qui conduit à la non-exploitation de données pourtant intéressantes, à la duplication des saisies, à une perte de cohérence, d’efficacité administrative etc. Le dirigeant vits souvent sur un volcan insoupçonné, et perd au quotidien des avantages concurrentiels par rapport à des concurrents plus jeunes dans le métier et qui sont « cloud native » depuis leur apparition sur le marché.

Et surtout, sans attention soutenue à la data, l’entreprise pourrait passer à côté de ce qui constituera vraisemblablement un enjeu stratégique majeur de survie dans ses prochaines années

  • Travail de structuration des données : il s’agit ici de la description, définition, maintenance dans le temps des données gouvernance, de l’enrichissement du corpus de données générées de manière unique, disponibles de manière régulière, automatique et fiable. Un bel exemple est donné aujourd’hui par les données RSE : les données environnementales des entreprises, qui exigeraient un traitement semblable à celui des données comptables (systémie, automatisme, règles fortes) sont la plupart du temps négligées ou traitées de manière partielle et ponctuelle, bref, absentes des systèmes structurés. Plus largement, il en va ainsi souvent des données qualitatives et sociétales (RH, formation, fidélité des clients, identification et suivi des « signaux faibles » commerciaux etc.), tant nos systèmes d’informations sont centrés sur la comptabilité (ERP) ou sur des mesures commerciales et techniques purement quantitatives (CRM). Le développement de nouvelles activités (SAV ou transformation des produits pour une entreprise de négoce par exemple), de même que les recherches fines de rentabilité (par type de produit, par client, par zone géographique etc.) sont aussi souvent négligés. Ces manques d’information nuisent à l’efficacité de la PME, sont une limite dans la connaissance de son métier, une barrière à l’entrée inexploitée, et l’empêchent potentiellement de prendre les bonnes décisions.
  • La communication entre systèmes est un deuxième sujet d’attention. Le cloud ne suppose pas une interopérabilité absolue des données, qui peuvent rester ensilotées, redondantes, incohérentes. Un travail est donc à mener sur la communication entre systèmes. Pour fixer les idées, un ERP fait rarement un bon CRM, et inversement, alors qu’il est essentiel que les deux communiquent de manière fluide.
  • L’intelligence artificielle est encore aujourd’hui largement à l’état de potentialité dans les PME. Mais il est clair que de très nombreux métiers vont lourdement évoluer du fait de l’IA, et que celle-ci va permettre d’économiser du temps et ainsi de créer de très nombreuses opportunités de business supplémentaires et une nouvelle manière de les traiter. A ce titre, les données stockées dans les entreprises représentent une richesse énorme, qu’elles sont seules bien souvent à posséder. Songeons par exemple aux possibilités de foisonnement et de cross-selling générées par l’exploitation intelligente d’un historique d’offres traitées, acceptées ou non, de commandes passées, des délais de transformation, de chiffres d’affaires, de taux de marge, de coûts commerciaux liés, d’incidents et de délais moyens de paiement. Encore faudra-t-il que ces données soient disponibles au niveau de finesse nécessaire, et interopérables. Ne pas se préparer à ces évolutions avec une data cohérente et structurée, c’est potentiellement voir le train de l’IA passer.

Conclusion : En termes de gestion opérationnelle immédiate, comme d’appréhension des risques et surtout de préparation aux évolutions stratégiques de demain, la data est au coeur du réacteur de la PME quelle que soit son activité, et devrait donc se trouver au coeur des préoccupations du conseil d’administration, dépassant largement les seuls aspects juridiques ou réglementaires. APIA est conscient de ces évolutions, dispose parmi ses effectifs de spécialistes de la data, et intègre dans ses procédures d’instruction de mandat des questions sur la data, en permettant ainsi d’éclairer certains aspects qui ne faisaient pas nécessairement partie à l’origine de la feuille de route du dirigeant.


Gilles Knoery

Une gouvernance bien construite et bienveillante est un outil de performance et de pérennité de l’entreprise. Pour le ou la dirigeante actionnaire, la transmission de l’entreprise est une étape cruciale et le plus souvent unique, quelquefois intime… La gouvernance doit-elle s’impliquer dans cette étape ?

Dans cette formation, 3 dirigeants qui ont déjà cédé leur entreprise, ou préparant leur transmission, vous feront partager leur vécu. Un administrateur indépendant vous expliquera quel a été son rôle et son implication pour initier, challenger et accompagner cette étape. Le point de vue de l’investisseur Bpifrance complétera ces expériences.

Intervenant(s)

Juliette Rapinat, Administratrice indépendante – APIA

Jacques Solleau, Administrateur indépendant – APIA

Rachel Denis-Lucas, Administratrice associée – Denis Matériaux

Yannick Chammings, Fondateur – Witekio

Laurent Etellin, Co-gérant – Groupe Etellin

Jean de Séverac, Administrateur indépendant – APIA

Isabelle Galamand, Directrice Régionale Fonds Propres PME/ETI – Bpifrance

Le replay du webinaire et les slides sont accessibles dès à présent sur Bpifrance Université.

Voici le lien vers la fiche descriptive, sur le site internet, qui donne un premier aperçu, pour les non-inscrits à la plateforme : Formation en ligne Au cœur de la gouvernance des PME/ETI : Préparer la transmission – Bpifrance Université (bpifrance-universite.fr)

Suite à son élection régionale du mois de juillet 2024, leurs nouveaux présidents et vice-présidents régionaux d’APIA.

Découvrez leurs nouveaux noms des présidents et vice-présidents régionaux élus :

  • Pascal Roux, Président d’APIA Alpes ;
  • Emmanuelle Schiavo, Vice-présidente d’APIA Alpes ;
  • Laurent Etellin, Président d’APIA Auvergne ;
  • Gaëtan De La Brosse, Vice-président d’APIA Auvergne ;
  • Dominique Hofman, Présidente d’APIA Est ;
  • Elizabeth Ehringer, Vice-présidente d’APIA Est ;
  • François Naux, Président d’APIA Grand-Ouest ;
  • Catherine Boucher, Vice-présidente d’APIA Grand-Ouest ;
  • Jean-Pierre Viboud, Président d’APIA Hauts-de-France ;
  • Frédéric Wantz, Vice-président d’APIA Hauts-de-France ;
  • Eric Pinot, Co-Président d’APIA Ile-de-France ;
  • Isabelle Capron Co-Présidente d’APIA Ile-de-France ;
  • Nathalie Clere, Présidente d’APIA Méditerranée ;
  • Jean-Jacques Cherry, Vice-président d’APIA Méditerranée ;
  • François LeForestier, Président d’APIA Normandie ;
  • Eric Besse, Président d’APIA Rhône ;
  • Jean-Eudes Rabut, Vice-président d’APIA Rhône ;
  • Yannick Chammings, Vice-président d’APIA Rhône ;
  • Olivier Bédat, Président d’APIA Suisse ;
  • Serge Reymond, Vice-président d’APIA Suisse ;

Olivier Bédat est élu Président et Serge Reymond est élu Vice-présidente d’APIA Swiss.

Engagée depuis vingt ans à promouvoir la fonction d’administrateur indépendant auprès des startup, PME, ETI, et associations, APIA a pour objet de promouvoir et de professionnaliser, par ses actions et travaux collectifs, la mise en œuvre d’une gouvernance efficiente au sein de ces structures. L’ADN d’APIA a ceci de particulier que son vivier d’administrateurs se compose de chefs d’entreprises ayant à cœur de transmettre leur expérience en aidant leurs pairs.

APIA Suisse est la seule association de la région qui accompagne des dirigeants de PME et ETI dans le recrutement d’administrateurs indépendants, éclairés et expérimentés, formés par APIA Suisse à composer des conseils d’administration et des comités stratégiques.

À ce titre, APIA Suisse participe grandement à l’expansion du tissu national Suisse.

La présidence d’APIA Suisse a vocation à donner une impulsion supplémentaire au dynamisme économique régional, grâce au développement de ses implantations locales et d’une nouvelle plateforme de E‑learning.

Olivier Bédat : Ancien Président du groupe 5àSec, a plus de 40 ans d’expérience managériale au niveau international. Il est un spécialiste du secteur des services et de la franchise.

Serge Reymond : Président de l’Ecole 42 Lausanne. Expert en dynamisation et transformation digitale des organisations et en transmission d’entreprises. Plus de 35 ans d’expérience dans diverses industries telles que le commerce de détail, l’horlogerie, les médias et la technologie.

Eric Besse est élu Président et Jean-Eudes Rabut et Yannick Chammings sont élus Vice-présidents d’APIA Rhône pour un mandat de trois ans.

Engagée depuis vingt ans à promouvoir la fonction d’administrateur indépendant auprès des startup, PME, ETI, et associations, APIA a pour objet de promouvoir et de professionnaliser, par ses actions et travaux collectifs, la mise en œuvre d’une gouvernance efficiente au sein de ces structures.

L’ADN d’APIA a ceci de particulier que son vivier d’administrateurs se compose de chefs d’entreprises ayant à cœur de transmettre leur expérience en aidant leurs pairs.

APIA Rhône est la seule association de la région qui accompagne des dirigeants de PME et ETI dans le recrutement d’administrateurs indépendants, éclairés et expérimentés, formés par APIA Rhône à composer des conseils d’administration et des comités stratégiques. À ce titre, APIA Rhône participe grandement à l’expansion du tissu régional Rhône.

La nouvelle présidence d’APIA Rhône a vocation à donner une impulsion supplémentaire au dynamisme économique régional, grâce au développement de ses implantations locales et d’une nouvelle plateforme de E‑learning.

Éric BESSE exerce pendant 30 ans comme directeur général dans l’industrie et la distribution alimentaire (GMS, hors foyer, export) mais s’investit aussi dans la création, reprise et cession de sa propre entreprise. Il est actuellement administrateur d’une société dans la logistique du dernier kilomètre.

Yannick CHAMMINGS est président du conseil de surveillance de Team for the Planet, fonds d’investissement à impact, et membre de comités stratégiques de plusieurs startups. Engagé et passionné par la responsabilité de la gouvernance dans l’accompagnement de la transformation des entreprises face à la crise environnementale, il intervient comme référent au sein d’APIA sur cette thématique.

Jean-Eudes RABUT a une double culture public/privé. Il a exercé pendant près de 15 ans des responsabilités dans la haute fonction publique et tenu des postes de dirigeants d’ETI pendant plus de 20 ans dans des groupes d’ industries de services, et ce plus particulièrement dans les secteurs de la santé et de l’ événementiel.
Le développement des activités, la structuration des organisations, le développement de la compétence des collaborateurs et l’amélioration de la rentabilité ont été le moteur de son engagement et de son action.

Nathalie Clere est élue Présidente et Jean-Jacques CHERRY est élu Vice-président d’APIA Méditerranée pour un mandat de trois ans.

Engagée depuis vingt ans à promouvoir la fonction d’administrateur indépendant auprès des startup, PME, ETI, et associations, APIA a pour objet de promouvoir et de professionnaliser, par ses actions et travaux collectifs, la mise en œuvre d’une gouvernance efficiente au sein de ces structures.

L’ADN d’APIA a ceci de particulier que son vivier d’administrateurs se compose de chefs d’entreprises ayant à cœur de transmettre leur expérience en aidant leurs pairs.

APIA Méditerranée est la seule association de la région qui accompagne des dirigeants de PME et ETI dans le recrutement d’administrateurs indépendants, éclairés et expérimentés, formés par APIA Méditerranée à composer des conseils d’administration et des comités stratégiques.

À ce titre, APIA Méditerranée participe grandement à l’expansion du tissu régional Méditerranée.

La nouvelle présidence d’APIA Méditerranée a vocation à donner une impulsion supplémentaire au dynamisme économique régional, grâce au développement de ses implantations locales et d’une nouvelle plateforme de E‑learning.

Nathalie Clère : Dirigeante dans le secteur Télécoms et des services B2B et B2C sur les 4 continents dans des PME/ETI, filiales de  grandes sociétés. Elle a exercé notamment des responsabilités de direction générale au Liban – DG de Cellis – et à l’Ile Maurice -DG de Mauritius Telecom. Elle exerce depuis 12 ans des mandats d’administratrice à l’étranger et en France au sein de PME et start-up. Mère de 4 enfants, elle est décorée de la Légion d’Honneur en 2022.

Jean-Jacques Cherry. Son parcours professionnel durant ses 30 dernières années au sein d’entreprises telles que  REEBOK , CROCS – OLYMPIQUE LYONNAIS – PRINCE – RACER ou COMPAGNIE DE PROVENCE lui ont permis d’acquérir des expertises dans la gestion d’entreprises, le management et l’accompagnement de dirigeants dans le cadre de leur gouvernance.
C’est donc tout naturellement qu’il a voulu intégrer il y a 2 ans et demi, l’association APIA pour renforcer le rôle de l’administrateur au sein des entreprises et à la demande de la Présidente APIA Méditerranée, il a accepté de l’accompagner en tant que Vice-Président dans le développement d’APIA dans la région Méditerranée.

Eric Pinot et Isabelle Capron sont élus à la présidence d’APIA Ile-de-France pour un mandat de trois ans.

Engagée depuis vingt ans à promouvoir la fonction d’administrateur indépendant auprès des startup, PME, ETI, et associations, APIA a pour objet de promouvoir et de professionnaliser, par ses actions et travaux collectifs, la mise en œuvre d’une gouvernance efficiente au sein de ces structures.

L’ADN d’APIA a ceci de particulier que son vivier d’administrateurs se compose de chefs d’entreprises ayant à cœur de transmettre leur expérience en aidant leurs pairs.

APIA Ile-de-France est la seule association de la région qui accompagne des dirigeants de PME et ETI dans le recrutement d’administrateurs indépendants, éclairés et expérimentés, formés par APIA Ile-de-France à composer des conseils d’administration et des comités stratégiques.

À ce titre, APIA Ile-de-France participe grandement à l’expansion du tissu régional Ile-de-France.

La nouvelle présidence d’APIA Ile-de-France a vocation à donner une impulsion supplémentaire au dynamisme économique régional, grâce au développement de ses implantations locales et d’une nouvelle plateforme de E‑learning.

▶️ Éric PINOT : Après un parcours marketing et commercial au sein de grands groupes (Kraft, Colgate Palmolive, Danone), Éric a dirigé pendant plus de 20 ans des business units européennes dans le secteur de la grande consommation ainsi qu’en BtoB, et a été président de 2 sociétés sous LBO.
Il rejoint alors APIA, puis après quelques années d’intérim management et de conseil, passionné par la création de valeur, le management et l’accompagnement de dirigeants, il a rejoint Visconti Partners en 2022.

▶️ Isabelle CAPRON est une dirigeante experte en stratégie de marques et management de talents dans les industries créatives (marketing, publicité, mode, luxe), qui a opéré dans des groupes internationaux et PME/ETI (Colgate, Lanvin, Interpublic, Fauchon, Icicle Shanghai Fashion Group). Elle est administratrice indépendante depuis 15 ans (Camaïeu, Peugeot Saveurs, Lonsdale, Hopscoth Global PR, Caractères), et actionnaire de la PME familiale Cimap. Isabelle est diplômée de HEC.

Jean-Pierre Viboud est élu Président et Frederic WANTZ est élu Vice-président d’APIA Hauts-de-France pour un mandat de trois ans.

Engagée depuis vingt ans à promouvoir la fonction d’administrateur indépendant auprès des startup, PME, ETI, et associations, APIA a pour objet de promouvoir et de professionnaliser, par ses actions et travaux collectifs, la mise en œuvre d’une gouvernance efficiente au sein de ces structures.

L’ADN d’APIAa ceci de particulier que son vivier d’administrateurs se compose de chefs d’entreprises ayant à cœur de transmettre leur expérience en aidant leurs pairs.

APIA Hauts-de-France est la seule association de la région qui accompagne des dirigeants de PME et ETI dans le recrutement d’administrateurs indépendants, éclairés et expérimentés, formés par APIA Hauts-de-France à composer des conseils d’administration et des comités stratégiques.

À ce titre, APIA Hauts-de-France participe grandement à l’expansion du tissu régional Hauts-de-France.

La nouvelle présidence d’APIA Hauts-de-France a vocation à donner une impulsion supplémentaire au dynamisme économique régional, grâce au développement de ses implantations locales et d’une nouvelle plateforme de E‑learning.

Jean-Pierre Viboud a dirigé pendant 15 ans Oney Bank, période au cours de laquelle a été développée l’activité Web et internationale notamment avec le paiement fractionné 3-4 fois CB. Il a été membre du Directoire de Groupe Auchan et administrateur de sociétés dans différents secteurs d’activité. Auparavant il a assuré des fonctions de Directeur financier et a été manager au sein du cabinet PricewaterhouseCoopers.
Il est aujourd’hui consultant en stratégie et en gouvernance. Il est Administrateur Indépendant et membre APIA.

Frédéric WANTZ :  Après une carrière dédiée au commerce et l’achat dans des directions opérationnelles principalement en grande distribution alimentaire en France et à l’étranger et complétée par des expériences de direction générale notamment dans le monde de la téléphonie mobile, du Luxe et de la logistique, Frédéric Wantz s’est progressivement spécialisé dans la transformation des organisations et le retournement d’entreprises en difficulté.

François Naux est élu Président et Catherine Boucher est élue Vice-présidente d’APIA Grand Ouest pour un mandat de trois ans.

Engagée depuis vingt ans à promouvoir la fonction d’administrateur indépendant auprès des startup, PME, ETI, et associations, APIA a pour objet de promouvoir et de professionnaliser, par ses actions et travaux collectifs, la mise en œuvre d’une gouvernance efficiente au sein de ces structures.

L’ADN d’APIA a ceci de particulier que son vivier d’administrateurs se compose de chefs d’entreprises ayant à cœur de transmettre leur expérience en aidant leurs pairs.

APIA Grand Ouest est la seule association de la région qui accompagne des dirigeants de PME et ETI dans le recrutement d’administrateurs indépendants, éclairés et expérimentés, formés par APIA Grand Ouest à composer des conseils d’administration et des comités stratégiques.

À ce titre, APIA Grand Ouest participe grandement à l’expansion du tissu régional Grand Ouest.

La nouvelle présidence d’APIA Grand Ouest a vocation à donner une impulsion supplémentaire au dynamisme économique régional, grâce au développement de ses implantations locales et d’une nouvelle plateforme de E‑learning.

François NAUX : Après un parcours de dirigeant d’entreprise familiale, il est associé fondateur du cabinet WICS Consulting, spécialiste en gouvernance cognitive auprès des entreprises. Diplômé de l’Institut de haute finance, président de APIA pour la région Grand-Ouest depuis 2022, administrateur MEDEF 44 et 60 000 Rebonds, il milite pour la pratique d’une bonne gouvernance.

Catherine Boucher : Directrice régionale de la Banque de France (IDF) jusqu’en 2019, membre APIA en 2020, vice-présidente de la région GO depuis 2022, elle a également participé à la création du corpus de connaissances APIA (gestion des risques). Par ailleurs, elle est membre du comité d’audit et du conseil d’administration du Crédit Municipal, et a fondé une association dédiée à l’éducation financière.

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