L’informel dans la gouvernance
Si la philosophie de Michel Serres évoquait souvent le « soft » et le « dur » (en dehors de toute connotation logicielle), en gouvernance, le dur serait dans les grandes lignes les pratiques opérationnelles (bonnes et moins bonnes), la documentation (cahiers APIA par exemple), le formalisme des CA et des comités stratégiques, etc. Le soft serait la posture de l’AI, sa qualité de questionnement en CA, son expertise (technique ou humaine), sa curiosité… ici la liste est longue, mesurée par les expériences individuelles de chacun.